La Gestapo de l'immigration masquée a enlevé mardi Rumeysa Ozturk, étudiante en doctorat à l’université Tufts, et l'a emmenée dans un centre de détention en Louisiane, en violation apparente d'une décision de justice.
La déclaration percutante de Khalil a été faite le jour même où Trump menaçait de destituer un juge fédéral pour avoir cherché à bloquer l'enlèvement et l'expulsion d'immigrants vénézuéliens et salvadoriens.
Les manifestations ont révélé une large opposition des travailleurs et des jeunes au génocide de Gaza, que les gouvernements européens soutiennent en diffamant les opposants au génocide en les qualifiant d'« antisémites ».
La police française tue deux militants kanaks en Nouvelle-Calédonie alors que les groupes pro-indépendances réclament des négociations avec le gouvernement d’extrême droite de Macron à Paris
Les forces de police fonctionnent comme des gangs itinérants et des escadrons de la mort dont la cible est l’ennemi intérieur de la classe dirigeante: la classe ouvrière.
Les manifestations ont semé la crainte au sein du régime de Museveni de troubles similaires à ceux du Kenya voisin. Dans un discours télévisé samedi soir, Museveni a menacé les manifestants : « Nous sommes occupés à produire de la richesse […] et vous voulez nous déranger. »
La bombe GBU-39 de petit diamètre (SDB) est fabriquée par Boeing, mais des composants ont été reliés par un numéro de série à Woodward HRT, selon le Washington Post.
La principale leçon à tirer du massacre brutal d'au moins 45 civils déplacés à Gaza est que les appels aux pouvoirs en place d’« arrêter le génocide » qu'il s'agisse des gouvernements impérialistes, de l'ONU ou des tribunaux internationaux, resteront sans effet. La force sociale qui doit être mobilisée est la classe ouvrière internationale.
La classe dirigeante veut établir un précédent en interdisant toute activité politique dans la classe ouvrière et en déchirant le droit fondamental à la liberté d’expression du Premier Amendement.
La plainte déposée devant le tribunal mardi équivaut à une demande d'interdiction de toute activité de grève à caractère politique aux États-Unis.
Le vote est une avancée majeure, car il pose l’entrée de la classe ouvrière dans la lutte en tant que principale force politique contre la guerre et la dictature policière.
L’élan de la grève ne doit pas être perdu, surtout après la vote de grève écrasant de 48.000 travailleurs universitaires de l’Université de Californie en réaction à la répression policière des protestations anti-génocide pacifiques.
L’éclatement d’une grève chez 6000 travailleurs de l’UW montre l’immense potentiel que le mouvement grandissant d’opposition à la guerre fusionne avec l’opposition de masse dans la classe ouvrière à l’exploitation et à l’inégalité.
Le vote des étudiants diplômés est le signe d'une nouvelle étape dans laquelle la classe ouvrière émergera comme la force sociale de base contre la guerre et la dictature.
Andy Thompson, membre de l'IYSSE (Mouvement international des jeunes et des étudiants pour l’égalité sociale) aux États-Unis, a prononcé le discours suivant lors du rassemblement international en ligne du 1er mai 2024, qui s'est tenu le samedi 4 mai.
Le Parti démocrate s'appuie de plus en plus sur la bureaucratie de l'UAW et les Socialistes démocrates d'Amérique pour protéger Joe Biden, isoler sa campagne de réélection de l'hostilité croissante au génocide à Gaza et maintenir l'approvisionnement en armes d'Israël et de l'Ukraine dans le cadre de la guerre menée par les États-Unis et l'OTAN contre la Russie.
Partout aux États-Unis, les travailleurs dénoncent le génocide à Gaza et les attaques policières contre les étudiants menées par les deux partis pro-guerre.
La seule façon d'arrêter la guerre et de défendre nos droits est de prendre les choses en main en tant que classe ouvrière, qui crée toutes les richesses de la société.
La classe dirigeante est terrifiée par les manifestations étudiantes, car elles peuvent éveiller la classe ouvrière. Le vote d’une grève par les étudiants diplômés en Californie montre que l’on reconnaît de plus en plus que les méthodes de la lutte des classes sont nécessaires.
Soutenues politiquement par Joe Biden et les deux partis de la grande entreprise, la police américaine et les forces de sécurité des campus continuent de harceler, d’agresser et d’emprisonner les étudiants, les enseignants et les sympathisants pacifiques qui s’opposent à la guerre.
