Dans un contexte de guerre, d’austérité et de promotion des forces d’extrême droite, une radicalisation majeure des travailleurs et des jeunes est en cours. Les films et les séries télévisées ont jusqu’à présent très peu parlé de ces processus complexes et convulsifs.
Face aux massacres à Gaza et à la guerre mondiale menaçante, les activistes #MeToo ont étalé leur indifférence à l'égard de la souffrance de masse.
Parce que certains lauréats et jurés de la Berlinale ont eu le courage d’appeler les choses par leur nom au lieu d’être les porte-voix des pouvoirs en place ils sont traités comme des criminels.
Portant un rude coup à l’establishment politique et aux médias allemands, le film documentaire No Other Land a remporté le prix du public Panorama au festival du film de cette année. Un certain nombre de cinéastes ont fait des déclarations fortes contre le génocide israélien.
En invitant l’AfD, le Sénat de Berlin et le ministère de la Culture dirigé par le Parti des verts répudient l’engagement de la Berlinale de 2019 à refuser une « plate-forme pour la propagande raciste-nationaliste ».
L'une de ses œuvres les plus abouties est Omar un film de 2013 sur un jeune boulanger palestinien (Adam Bakri) qui se retrouve impliqué dans des affaires politiques et morales complexes.
À ce moment dans l’histoire, la plupart de ceux qui peuvent être caméra en main et ont des ressources à leur disposition ont toujours une vision du monde extrêmement limitée
Le film d’Abbruzzese répond à la cruauté de la guerre par un appel à la liberté et à la joie de vivre.
Le festival du film de Berlin s’est ouvert jeudi dernier sur un déluge de militarisme et de propagande guerrière, suivi un jour plus tard par la première mondiale de Superpower, réalisé par le principal partisan hollywoodien de la guerre totale contre la Russie, l’acteur Sean Penn.
Le Festival de Cannes est un autre événement ou institution de plus à offrir honteusement une plate-forme publique au président ukrainien Volodymyr Zelensky afin de promouvoir la guerre des États-Unis et de l’OTAN contre la Russie.
Une poignée de films à Berlin montrait des travailleurs prenant l’initiative, s’organisant entre eux et n’étant pas prêts à accepter les miettes de la table – une évolution rafraîchissante.
Le 9 juin, le 71e Festival international du film de Berlin a débuté sous la forme d’un événement en plein air pour le public. Le festival a commencé par un prélude remarquable.
La cérémonie des Oscars de dimanche soir, s’est distinguée par le fait qu’elle s’est déroulée au beau milieu d’une pandémie mortelle et que les organisateurs ont tout fait pour que les questions raciales et de genre dominent l’événement.
Le titre du documentaire de Vanessa Lapa, «Speer Goes to Hollywood», et son slogan, «L'incroyable deuxième carrière du bon nazi», suffisent à semer l’intérêt.
Malgré une campagne persistante aux relents fascisants contre le « J’accuse » de Polanski, les césars le mettent en tête de leur sélection pour l’année 2020.
Un examen des films récents par des cinéastes féminins démontre qu’elles partagent les problèmes de leurs homologues masculins.
Le gouvernement du Sri Lanka a non seulement interdit la diffusion du film Igillena Maluwo (Flying Fish), mais il a aussi mit fin au festival français du film à Colombo où il était présenté.
Robert Connolly, réalisateur de Underground : l'histoire de Julian Assange, répond aux questions de Joanne Laurier du WSWS.
