Pistorius a profité de ses nombreuses apparitions, discours et interviews à Hawaï, en Corée du Sud et aux Philippines pour souligner les nouvelles aspirations de l'Allemagne en tant que grande puissance.
Les attaques bellicistes dirigées contre la Chine au sommet de l’OTAN de Washington signalent que les puissances de l’alliance militaire, États-Unis en tête, forgent des liens étroits avec les pays de l’Inde-Pacifique pour préparer une guerre à l’échelle mondiale.
Tout en soulignant la nécessité de «garde-fous» et de «dialogue», le gouvernement australien a cherché à dresser les pays d’Asie du Sud-Est contre la Chine.
Les incidents impliquant des navires chinois et philippins au cours du week-end étaient bien plus un exercice de propagande anti-chinoise qu’une tentative de réapprovisionnement du navire de guerre philippin de la Seconde Guerre mondiale échoué sur le banc Second Thomas.
Avant la rencontre, le gouvernement Biden a multiplié les menaces, les exigences, les ultimatums, les provocations et les mesures hostiles relatives au commerce et à la technologie
La machine de guerre des États-Unis fait face à une crise de recrutement qui s’aggrave tandis qu’elle intensifie sa guerre contre la Russie et ses préparatifs de guerre contre la Chine.
Le voyage du secrétaire d’État américain en Chine, prétendument pour calmer les tensions, a été rapidement suivi de dénonciations – Biden traitant Xi de «dictateur» – et d’allégations que la Chine ferait de l’espionnage depuis Cuba.
Le voyage de Blinken était une tentative cynique de mettre en veilleuse la confrontation des États-Unis avec la Chine, alors qu’une escalade militaire draconienne des États-Unis et de l’OTAN se prépare dans la guerre contre la Russie en Ukraine.
Sous la présidence de Trump et maintenant de Biden, Washington a fondamentalement modifié le délicat exercice d'équilibre qui avait conduit à l'établissement de relations diplomatiques formelles entre Pékin et Washington en 1979.
Xi a été propulsé sur le devant de la scène par un régime fragile du PCC confronté à des crises à l’intérieur comme à l’extérieur. C’est une figure bonapartiste se tenant en équilibre sur les factions rivales de l’élite dirigeante, dans un contexte de tensions sociales montantes.
Les analystes ne sont en aucun cas antiguerre, mais représentent plutôt une faction dissidente de la classe dirigeante qui est profondément préoccupée par les implications pour l’impérialisme australien d’une guerre menée par les États-Unis contre son principal partenaire commercial, la Chine.
Que la visite de Pelosi ait lieu ou non, elle a déjà servi à rapprocher la confrontation des États-Unis avec la Chine que Washington a désigné la Chine comme la menace principale pour son hégémonie mondiale d’une guerre nucléaire potentiellement désastreuse.
Ces exercices provocateurs impliquant deux groupes d’attaque de porte-avions américains indiquent clairement que les planificateurs de guerre du Pentagone reconnaissent que tout conflit avec la Russie pourrait rapidement entraîner la Chine.
Ce sommet n'a été qu'un geste impuissant et ritualisé où l'on prononce des paroles de retenue et effectue des manœuvres diplomatiques, alors que les classes dirigeantes foncent tête baissée vers la guerre.
Le soutien de Washington à Taïwan ne fait qu’encourager Tsai et le DPP à manifester plus ouvertement leur opposition à toute réunification avec la Chine et fait monter les tensions.
Le gouvernement indien BJP exploite l'impasse militaire frontalière actuelle avec la Chine pour intégrer encore plus complètement l'Inde dans l'offensive militaro-stratégique incendiaire de l'impérialisme américain contre Pékin.
L'annonce par Duterte que les Philippines ne participeront pas aux exercices navals américains dans les eaux contestées survient dans un contexte d'escalade spectaculaire des préparatifs de guerre de Washington contre la Chine.